reperes-et-jalons

reperes-et-jalons

Citations gaulliennes

Citations méprisantes  d’un homme impitoyable

 

 

Il est évident que DE GAULLE en miliaire brutal manquant de finesse et de tact dans le comportement et l’expression n’avait jamais pu voir la différence qu’il pouvait y avoir entre des maghrébins, arabes ou berbères évolués de plus en plus nombreux en France, instruits et libérés des archaïques contraintes coraniques de la charia et ceux qui sont empêtrés dans l’observance stricte d’un Coran incroyablement violent de l’époque médinoise et post médinoise. Il n’avait jamais compris que les premiers avaient vocation à être intimement intégrés à la culture française tout comme les autres peuples incorporés, venus de l’eurasie au cours des siècles, qui ont su participer, avec leur apport, à la constitution de l’esprit français… et sont devenus Français à part entière… 

Car, l’important, ce n’est ni la couleur de la peau, ni la race ou l’ethnie mais l’adhésion profonde à l’esprit et à la vocation de la France, à la fois chrétienne par son histoire et sa civilisation et laïque par sa tolérance…

 

La majorité des citations ci-après sont tirées du livre A Peyrefitte « Ch. DE GAULLE »  et également du livre de J.R.Tournoux « La tragédie du général » , éditions Plon  

 

Concernant l’Immigration

 

"C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne […] Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !". 

 

"Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! »?

 

Aux yeux du général de Gaulle, il ne s'agit pas de voir si l'intégration est possible. Il s'agit de constater qu'elle n'est pas souhaitable( J.R.Tournoux)

*

Quelques autres réflexions de l'homme du 18 juin

 

Au général Allard : 

 

"Mais enfin Allard, vous n'imaginez tout de même pas qu'un jour, un Arabe, un musulman, puisse être l'égal d'un Français! Voyons! C'est impensable".

 

"L'intégration, c'est une entourloupe pour permettre que les musulmans qui sont majoritaires en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République française à un contre cinq. C'est un tour de passe-passe puéril! On s'imagine qu'on pourra prendre les Algériens avec cet attrape-couillons ? Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq, puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire? Il y aurait deux cents, puis quatre cents députés arabes à Paris? Vous voyez un président arabe à l'Élysée ?"

 

"Il vaut mieux une Algérie algérienne au sein de la communauté, qu'une Algérie française au sein de la France, qui nous mettrait à plat pour toujours !"

 

"On a prétendu faire des nègres de bons Français. C'est beau l'égalité, mais ce n'est pas à notre portée. Vouloir que toutes les populations d'outre-mer jouissent des mêmes droits sociaux que les métropolitains, d'un niveau de vie égal, ça voudrait dire que le nôtre serait abaissé de moitié. Qui y est prêt ? Alors puisque nous ne pouvons pas leur offrir l'égalité, il vaut mieux leur donner la liberté! Bye Bye vous nous coûtez trop cher".

 

*

 

"... Les Noirs sont de braves bougres. Ils ne sont pas animés par la même passion, par la même haine que les Arabes. Il n'y a pratiquement pas de Noirs en dehors de l'Afrique noire, alors que le mouvement pan-arabe va bien au-delà du Maghreb. Mais vous comprenez bien que lorsque l'Afrique du Nord sera perdue, le même intérêt n'existera plus... "

 

" ... Les Arabes, ce n'est rien. Jamais on n'a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines. Après tout peut-être n'ont-ils pas besoin de routes, de barrages, d'usines. Ce sont d'habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants.

Nous assurons les fins de mois du Maroc, prétendument pour que les Américains ne le fassent pas à notre place. Qu'est-ce que cela pourrait bien nous faire que les Américains donnent des crédits aux Marocains..."

*

"Il est impossible d'accueillir au Palais-Bourbon cent vingt députés algériens. La Patrie deviendrait la colonie de ses colonies."

"Les Arabes, les Kabyles, les Mozabites, les Juifs ? " Ces gens-là ne font pas partie de notre peuple." 

*

Au député Raymond Dronne :

" Voulez-vous être bougnoulisés ? 

 "Vous, donneriez-vous votre fille à marier à un Bougnoul ? "

 

Au général Kœnig

" Évidemment, lorsque la monarchie ou l'empire réunissait à la France l'Alsace, la Lorraine, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens... Si vous allez dans un douar, vous rencontrerez tout juste un ancien sergent de tirailleurs, parlant mal le français."

 

"Et puis, Delbecque, 

vous nous voyez mélangés avec des Musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? "

"Les Arabes, pour détruire les ponts, ça va. Mais pour les construire... Avez-vous déjà vu un Arabe construire un pont ?"

"Les Arabes n'ont jamais rien construit, jamais un pont, jamais un port, jamais une usine, jamais un chemin de fer. Cela n'est jamais arrivé. Il y a peu de chances pour que cela arrive maintenant. Ils ont besoin de nous. "

 

Au député Lauriol

 

"Ces gens là sont des Arabes, ils ne nous aiment pas, nous n'en voulons pas. 

Des Français ces gens-là ! Avec leurs turbans et leurs djellabas"

 

à des notables des Landes

 

"Ils vous intéressent, vous, ces Mohammed et ces Fernandez ?" Cité par Jacques Isorni "Lui qui les juge" (éditions Flammarion 1961)



05/10/2015
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 102 autres membres