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RECTIFICATION À PROPOS DE L'AVORTEMENT

À propos de ma réponse dans mon Livre « Carnet de Route Spirituel du Bon Samaritain » concernant une question posée sur l’avortement je tiens à faire une rectification et donner une explication plus élaborée que celle trop rapide que j’avais alors formulée. Comme ce problème me taquinait et avait généré un doute chez moi j’ai entrepris de nombreuses recherches sur le sujet … « ici » et « ailleurs » …

Pour nos Spiritualistes terriens et aussi pour ce médecin consulté dans l’au-delà, très actif dans cette spécialité sur la Vie

L’Être conçu par la rencontre de deux gamètes (spermatozoïde et ovule) reçoit au moment même de la fécondation l’estampille divine qui en fait un enfant de notre Père (« à son image »)

L’argument essentiel c’est que sans ce don l’embryon est «vide de vie» et ne peut se développer en commençant le processus d’une embryogénèse normale. Il ne pourrait être qu’un amas cellulaire de culture destiné à une destruction rapide..

Pour le Corps médical terrestre qui a à juger du devenir d’une grossesse interrompue le point de vue est différent.

À quel moment dans un avortement provoqué ou spontané en pleine embryogénèse, l’ÊTRE  est-il viable avec les soins prodigués aux prématurés ? En permettant par la suite le développement d’un Etre normal ou quasi normal?

Pas avant le cinquième mois répondent en général les médecins classiques.

Alors qu’en est-il des ÊTRES (bénis de Dieu) avortés avant le cinquième mois ?

Après des échanges avec l’Au-Delà il s’avère que ces ÊTRES avortés sur Terre sont pris en charge par les spécialistes du Hadès en la matière, qu’ils se développent normalement et deviennent des aides actifs pour la fa- mille qui les a conçus...

Il arrive parfois, à l’occasion d’une consultation chez un médium qu’un couple apprenne inopinément l’existence de ses enfants avortés, complètement oubliés et ignorés.

Et avec lesquels il peut reprendre contact…